Il Corsaro in Montecarlo

Critical Acclaim "Ancora una volta, a ospitare l’applauditissimo pomeriggio di musica in una tiepida e assolata giornata invernale monegasca, è l’Auditorium Ranieri III, sede ideale per acustica e capacità di rendere godibile un’opera come questa anche senza il supporto della parte visiva. La proposta monegasca è vincente a partire dalle solide basi musicali garantite dalla bacchetta di Massimo Zanetti" Alessandro MormileConnessi all'opera
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“Ancora una volta, a ospitare l’applauditissimo pomeriggio di musica in una tiepida e assolata giornata invernale monegasca, è l’Auditorium Ranieri III, sede ideale per acustica e capacità di rendere godibile un’opera come questa anche senza il supporto della parte visiva. La proposta monegasca è vincente a partire dalle solide basi musicali garantite dalla bacchetta di Massimo Zanetti… Per non parlare della successiva cabaletta “S’avvicina il tuo momento”, attaccata con vibrante trasporto in orchestra da Zanetti e vocalmente risolta con quell’inebriante vigore riproposto nell’ira di “Sia l’istante maledetto”, stretta cabalettistica del duetto con Gulnara, concluso con un protervo “Trema, trema!”, che inchioda l’ascoltatore alla poltrona.”

Connessi all’opera

“L’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo est placé sous la direction enthousiaste de Massimo Zanetti… Sa conduite est rutilante et colorée, dosant le grondement militaire qui sous-tend un tissu orchestral parfois épais, pour maintenir l’équilibre entre les pupitres et les voix. Les longs solos nostalgiques (clarinette, hautbois, alto, violoncelle) accomplissent leurs échappées.”

Ôlyrix

“Avec sa direction sans cesse fluctuante et toujours maîtrisée, le chef Massimo Zanetti a fait flamboyer un chœur et un orchestre excellents. Au dessus des flots impérieux, tempétueux, majestueux de la musique de Verdi, il apparut en capitaine glorieux, susceptible de maîtriser les plus indomptables corsaires.”

Forum Opéra

“Privilégiant l’aspect bruyamment bariolé de l’orchestration aux alanguissements dont Verdi a le secret, la direction musicale du chef italien Massimo Zanetti a le mérite d’insuffler à l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo un élan et une énergie qui balaient tout sur son passage. Le public monégasque ne boude pas son plaisir et oblige les artistes à multiplier les saluts.”

Opéra Online

“Réussite qu’il convient en premier lieu d’attribuer à Massimo Zanetti dont la direction de l’orchestre philharmonique de Monte-Carlo sait intensifier la musicalité orchestrale d’une œuvre qui en manque parfois : la bataille entre les deux puissantes armées à l’acte II nous semble bien légère tandis que les notes censées suggérer le harem peinent à trouver les accords exotiques adéquats. Mais le maniement énergique de la baguette par le maestro nous réserve fort heureusement de sublimes moments : par exemple, lors du prologue avec le déchaînement des flots tempétueux, puis avec la douceur des cordes (1er violon : David Lefèvre) mêlées aux vents et bientôt accompagnées des magnifiques chœurs de l’opéra de Monte-Carlo a cappella « Come liberi ». Même bonheur initié par la subtile introduction du duo de l’acte III avec l’alto (F. Mereaux) et le violoncelle (D. Perrone), ou bien encore, au dernier acte, par le hautbois (M. Bloch) qui annonce la mort prochaine de Medora. Notons une direction tout aussi exigeante des chanteurs sur le plateau. Du grand art !”

Musicologie.org

“Comme on pouvait s’en douter, la version de concert monégasque (assez idéale pour un ouvrage au livret qui est tout de même loin d’être du meilleur Piave !) permet d’entendre un orchestre philharmonique au souffle épique sous la baguette amoureuse pour ce répertoire de Massimo Zanetti et des chœurs de Stefano Visconti – souvent masculins ici – qui, sans se voir gratifiés de morceaux d’anthologie comme dans d’autres Verdi de jeunesse, sont attentifs à la cohérence générale d’ensemble. Il serait injuste de passer sous silence dans cette partition jugée trop souvent comme mineure quelques moments musicaux de belle facture, tels que la brève tempête de l’ouverture, le trio final et, surtout, le violoncelle particulièrement inspiré lors de la scène de la prison de Corrado.”

Première Loge

“Pour faire honneur à ce théâtre spectaculaire plus qu’introspectif, l’opéra de Monte-Carlo a réuni une équipe idéale. Massimo Zanetti sait tirer l’énergie et les couleurs du bel orchestre philharmonique de Monte-Carlo, et c’est une véritable leçon de direction d’orchestre que de le voir : anticipation, attention aux chanteurs, et encouragements permanent prodigués aux musiciens de l’orchestre par de discrets applaudissements esquissés depuis le podium après certains numéros. Le chœur répond avec enthousiasme aux sollicitations du chef, à tel point qu’il est parfois à la limite de couvrir les chanteurs. Pourtant ceux-ci ne manque pas de voix, bien au contraire.”

Avant Scène Opéra

“Pour maîtriser la tempête qu’est Ia partition de Verdi, pour la faire vivre, vibrer, vrombir, tonitruer, un chef se trouvait à la tête des excellents orchestre et chœur : Massimo Zanetti. Il est le capitaine au long cours de ce mémorable Corsaire.”

Monaco Matin

“Il faut naturellement pour rehausser le blason d’un opéra comme Il Corsaro pouvoir compter sur la magnificence d’un orchestre et d’un chœur de grande qualité. Avec l’Opéra de Monte-Carlo on est évidemment comblé car les deux phalanges ont été, en la circonstance, exceptionnelles portant l’œuvre de Verdi à l’incandescence. Il faut dire que les instrumentistes atteignent des sommets sous la baguette vibrante de Massimo Zanetti.”

Résonances lyriques

“La direction précise et passionnée de Massimo Zanetti, la beauté du Chœur de l’Opéra monégasque, préparé par Stefano Visconti (voix glorieuses, diction parfaitement intelligible, sens du personnage collectif dans l’exaltant «Come liberi»), concourent à la réussite de cette grande soirée pour l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.”

Opéra Magazine

“Déjà au pupitre il y a un an pour I due Foscari, on retrouve avec un grand bonheur Massimo Zanetti qui impulse une grande énergie i l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, ceci dès les premières mesures qui peuvent évoquer la tempête sur une mer déchaînée. Mais le chef sait également ménager les décibels dans les moments plus intimes, ce qui favorise la tâche des solistes.”

Scènes Magazine